les membres :

L'histoire de Khorrun remonte presque au temps du Silence. Il est l'unique humain considéré par le cercle des Sylvaniens comme un veritable ranger d'AvLee. Bien qu'élevé comme un noble, il est toujours bouillonnant et préfère de loin conduire l'attaque à la défense.
Cet propension l'a conduit jusqu'en Tyrie, où, malgré sa deconsidération pour le Roi Adelbern, il décida de mettre ces talents au services du peuple Ascalonien. C'est au croisement de la route frontières entre des Vertes Vallées de l'Est et le Royaume d'Ascalon qu'il rencontra un moine nommé Theo.

Theo était médecin sur les champs de batailles de l'armée Perse, mais il a prouvé sa capacité à commander lorsque son capitaine fût tué en combattant les hordes Kreegan. Il réussi à maintenir l'ennemi suffisamment longtemps pour que les renforts viennent les soulager.
Il fut envoyé au Royaume d'Ascalon pour preter main forte aux troupes du Prince Rurik dans la défense contre l'envahisseur Charr.
C'est au cours de cette quete qu'il rencontra ces compagons de Guilde, ainsi qu'une bonne suprise concernant sa famille dont il avait perdu la trace lorsqu'il fut envoyé dans le monastère d'Ham Tyr pour ca formation en tan que moine, où il apprit la magie divine.



Voila pour mes personnages principaux ^^
J'ai aussi un G/M mais bcp moins RP dans le genre...

Lucie Mc Tyl

Le voyage s’était révélé d’un ennui terrible. J’en avais vraiment plus qu’assez. Ces fleurs qui bourgeonnent, ces paysages tranquilles de printemps à la campagne, ces paisibles paysans qui me regardaient passer avec bienveillance, malgré ma sombre tenue d’apprenti Nécromant.
Mais malgré toute cette bonne humeur, j’avais tenu le coup. Avec une seule idée en tête : l’arrivée à la Cité d’Ascalon, et le départ de ma nouvelle vie. J’allais enfin m’initier aux arcanes des plus sombres magies, me repaître d’un sang chaud et visqueux, de chair putride : affirmer ma puissance de Nécromant.

Apres plusieurs mois d'entraînement je m'initiais au PvP et c'est a ce moment la que je rencontrais mon ami Lucyphere Mortecouil. Il venait de se faire de nouveaux amis (khorrun et zénith) qui nous invitèrent à rejoindre leur guilde. C’est ainsi que nous adhérions à la guilde: Les Ecclésiastes!
De nouvelles aventures nous attendaient . . .

Les Zenith :

Il existe une prophétie qui parle d'apocalypse, de maléfice, de dragon, de princesse, de minuit, de pantoufle de verre, et autres choses bien amusantes dont plus aucun Ancien ne se souvient.
Cette prophétie s'achève ainsi :
"Du Zenith viendra le Salut."

Les chevaliers du roi Adelbern d'Ascalon partirent tous en quête de ce Zenith pour assurer la survie de leur peuple, objectif somme toute noble...
Ce périple mena leurs pas et les sabots de leurs chevaux dans un pays fort éloigné nommé Hul-Timèïtth (De l'elfique ancien dont la prononciation est cependant naturelle). La famille Orr y régnait depuis plusieurs générations.
Il demandèrent audience au Roi, de son prénom Rokhs, afin que ce grand souverain sage et puissant -dont on dit qu'il peut tuer un Aaxte à Lames d'un seul Eclat de Feu- leur donne conseils et boisson. Après avoir justement fait copieux usage de cette dernière, le Roi Rokhs Orr leur apprit qu'un vil paysan du royaume se nommait Noubbh Zenith et qu'il était hautement probable que ce fut là un signe des dieux.
Les chevaliers ascaloniens, un peu sceptiques, rendirent visite à ce brave homme. A force de torture et de Black-Out, celui-ci finit par leur donner ses trois fils ( On ne sait pas pourquoi les vaillants chevaliers avaient choisi la manière forte....peut-être que le Lait de Poule corsé n'avait rien arrangé à leur état d'allégresse frénétique).

Ainsi, il advint que Marthinelas l'aîné, Marthas et Martarius le cadet furent élevé par un citoyen ascalonien, dans une contrée ravagée par la Guerre des Guildes, jusqu'à leur majorité. Ils grandirent en force, en sagesse, en grâce, en intelligence, en skill, s'achetèrent l'armure Foulh Droknar -d'aucuns prétendent que Marthinelas aurait même l'armure Foulh Marhan teinte en noir ! !- et on leur appris qu'ils devaient réaliser la fameuse prophétie.

Marthinelas le Rôdeur, rompu aux arts de la nature et du combat à arc, détenteur d'une ancestrale technique appelée Spaïqh, pensait être le plus expérimenté pour arriver à cette tâche.
Marthas le Moine, maîtrisant la magie divine du Bien, de la Guérison, de la Protection et du Fharm, pensait être le plus sage.
Martarius le Guerrier/Moine Epee Renovation, maîtrisant...euh...de très nombreuses...euh...Eh bien il pensait être le plus powerfull.

Enfin, après tant d'année, il se produisit......pas grand chose.
En effet depuis qu'on leur avait révélé la prophétie, les Zenith avaient passé plus de temps à se disputer pour savoir lequel rhokhssait le plus qu'à chercher à résoudre des énigmes.

Leur devise, éclatante de lucidité et d'intelligence, était :
"Moins y a de noobs, plus on dropp"

(BWAHAHAHAHAHAHAH
Zenith t'as la meilleur bio que j'ai jamais lu ! /kneel
Franchement chapeau c'est carrément EXCELLENT : ))) )

Urkan, guerrier puissant et droit, mit fin aux exactions des tyrans du royaume d'Ancaria, (les batailles durèrent 353heures).
La paix rétablie et pérenne, il décida de rejoindre le monde de GW.
Prenant pied à Ascalon, Urkan rencontra, dès le premier jour, Khorrun, archer aguerri à toutes les stratégies, déterminé à restaurer la primauté de ses peuples légitimes.
Dès les premiers combats, Lilas, Ishtar, Rodeuse...rejoignirent le groupe.


Sans doute en vertu de son âge, Urkan fut nommé Chef de Guilde par ses membres fondateurs.
Urkan, G/M, mena toutes les batailles, quêtes et missions, puis s'accorda un long repos pour panser ses blessures.
Gé, Elé/N, fils du feu, de l'air, de l'eau et de la terre (oui tout çà ) prit le relais. Il explora la fissure et fit fondre le ciel sur les ennemis. Sa venue fait fuir (je sais les farm en ont subi les effets néfastes)les "monstres" de la fournaise.
No, R/M, profita des enseignements de Khorrun, maître du pull et du trap. Il pérennisa l'action bienveillante des Mc Tyl sur l'ensemble du monde de GW. C'est, aujourd'hui, le chef de Guilde le plus présent.
Enfin, X, M/Env perfectionne son art dans l'ensemble des domaines de sa spécialité pour participer pleinement à la gloire de la Guilde.
Les Ecclésiastes a rapidement marqué son identité, insufflée par ses Officiers... les ROXXORS, dont nul défi ne saurait être relevé, dans la bonne humeur.
Les Ecclésiastes accueille et soutient tous nouveaux membres partageant ses valeurs: enthousiasme, esprit de collectivité et de dérision...mais aussi respect de soi et d'autrui ainsi qu'une grammaire surperformant le niveau pré-scolaire.

Aujourd'hui, nous félicitons:
la nomination de Funéral Shadow au rang d'officier
la venue d'Anoa Gah au sein de la Guilde

Nous ne doutons pas de leur enthousiasme à partager nos valeurs et oeuvrer pour le renom des Ecclésiastes.

Bonjour à tous amis et camarades de combat, faites honneur à votre titre de Roxxor en lisant ceci jusqu'au bout !



Ishtar la Grande était fort honorée dans la Perse des temps antiques. Fille aînée de Cyrus, fondateur du royaume de Perse, elle assuma la haute charge de Première Prêtresse d’Ishtar, la grande déesse cosmogonique avec laquelle elle partageait la sensualité féminine et l’ardeur du combat. A l’aube de la nouvelle lune, dans les sommets du Zagros, l’armée perse affrontait la coalition des Hurrites avec les Assyriens et les Babyloniens. Ishtar, conduite par son attelage, participait toujours au combat. Dans la frénésie des affrontements, le roi de Babylone lui porta un coup fatal à la poitrine au moyen du fameux sceptre offert au roi par Hadès lui-même. Ainsi, Ishtar sombra dans le gouffre des Enfers afin d’y errer pour l’éternité. Les siècles durant, elle usa de charme sur le Seigneur des Abîmes pour obtenir de lui un passage vers la surface. C’est alors qu’Ishtar la Grande fut de retour, mais elle avait bien changé depuis les temps anciens. L’immortalité lui était acquise, mais la blancheur de sa chaire portait à tout jamais la marque de la mort. Son passage dans l’au-delà l’initia aux sciences nécrotiques. Le dieu des Enfers choisit de la mettre au service de Grenth, sa manifestation au royaume d’Ascalon. Ainsi débuta l’aventure d’Ishtar de Perse la nécromante…



Aurore la Magicienne est la fille de Ludwig von Perse, aîné de la grande famille persane installée en Bohême. A l’instar de ses illustres ancêtres, son destin extraordinaire se dessina dès sa naissance. Extrêmement douée tant en sciences qu’en lettres et en langues, elle se découvrit un intérêt tout particulier pour les enchantements et les sciences occultes. Ce sont les ouvrages de la fameuse bibliothèque du palais royal à Prague qui lui enseignèrent les premiers principes de ces disciplines. Très vite, elle ressentit le besoin de recevoir une formation approfondie en magie. Cependant, on ne connaissait aucun maître de l’illusion au royaume de Germanie. Son maître de philosophie lui parla d’un homme, anachorète et vivant dans l’ascèse, surnommé familièrement « le Sage qui sait tout ». Aurore lui rendit visite dans les Montagnes du Silence éternellement figées dans la neige et la glace. Il lui dit ceci : « Dix mille lieues vers l’ouest tu parcouras, ta quête tu achèveras ». A l’âge de 24 ans, elle prit la décision de quitter la douce vie palatiale de Prague pour monter une expédition vers l’ouest, avec la bénédiction de son père qui fut à la fois attristé et heureux de son départ. Elle parcourut plus de dix mille lieues et explora de nombreuses régions. C’est ainsi qu’elle atteignit le royaume d’Ascalon de Tyrie. Dès ses premiers pas, son cœur ne pouvait la tromper, elle en était convaincue : Aurore de Perse allait démarrer sa formation d’envoûteuse.



Jin et son épouse Yu Shu possédait une modeste résidence sur la côte de Hemedu dans la province de Zhejiang. Ils vivaient à la fois de la pêche, de la chasse et de la culture des champs. Leur vie était simple sans excès en tout genre, mais cela suffisait à leur bonheur. Ce bonheur serait parfait le jour où Yu Shu mettrait au monde un enfant. Leur vœu le plus cher était de devenir parents. Mais les années s’écoulaient et rien ne venait. C’est alors que fut venu le jour de la fête de la déesse lune Chang E. Le peuple entier de la Chine fédérée célébrait les rites en l’honneur de la déesse. Jin fit de même et lui adressa de surcroît une prière : « Ô majestueuse Chang E, maîtresse de fécondité, toi qui commande les cycles cosmiques, accorde-nous par ta grâce de voir venir un enfant ! » Les festivités s’achevèrent et chacun reprit ses activités ordinaires. Quelques jours plus tard, alors que Jin revenait de la pèche, Yu Shu comprit qu’un événement singulier s’était produit. Dans l’excitation générale de ses compagnons de mer, Jin rentrait avec un bébé dans les bras. Il ne faisait aucun doute que la déesse avait répondu à sa prière c’est pourquoi l’enfant fut immédiatement baptisé Lune. L’enthousiasme était si grand qu’on remarquait à peine les traits de son visage qui la distinguait nettement de ses parents. Les années passèrent et son père apprit tout ce qu’il savait à sa fille bien aimée. Elle a très vite fait preuve de beaucoup d’esprit ainsi que de caractère. Elle aimait passer des heures et parfois même plusieurs jours dans la forêt, ce qui a accentué son tempérament solitaire. En effet, au-delà de la disparité physique qui l’éloignait déjà de ses propres parents, Lune savait au plus profond d’elle-même qu’elle resterait toujours une étrangère, ses origines se trouvaient ailleurs. Alors que les questions se faisaient plus insistantes et plus nombreuses, un jour, elle décida de mettre un terme à ces interrogations incessantes et d’en trouver les réponses. En mer, elle avait été trouvée, par la mer, sa quête débuterait. Son départ fut un déchirement tant pour ses parents que pour elle, mais elle leur promit son retour. Elle embarqua avec son fidèle familier Chang Xi sur un navire de commerce en partance pour l’est. Là, à Kiribati, une des grandes métropoles commerciales de la Mer des Echos, elle rencontra un membre de la communauté des Rôdeurs des Îles Phœnix. Elle se sentit comme dans une seconde famille, l’harmonie était parfaite. Dans la recherche de ses racines, ses nouveaux amis l’envoyèrent vers le royaume d’Ascalon de Tyrie. Elle suivit les routes maritimes puis terrestres qui la mèneraient en territoire ascalonien. C’est ainsi que Lune de Zhejiang partit à la conquête de ses origines en terre de Tyrie…



Pour comprendre comme il se doit la psychologie de notre Zénobie, nous devons rappeler les exploits devenus légendaires de Zénobie la Grande, reine de Palmyre. Palmyre, comme chacun sait, est la fameuse oasis orientale, la capitale du commerce où pullulaient marchands d’épices, revendeurs de bétails et grands négociants en minéraux précieux. Dans le tumulte des échanges commerciaux se croisaient nomades d’orient, marins d’occident, voyageurs du Nord et escrocs du Sud. Pour gouverner le centre économique du monde, un roi et une reine. Mais tout le monde savait que la reine avait l’ascendant sur son mari. La rumeur fut confirmée à l’annonce de la mort du roi. La reine s’en était bien débarrassée afin de pouvoir mettre en place ses projets ambitieux de conquête. A cette époque ancienne, Rome dominait la majorité des territoires du monde, ainsi que la région désertique de Palmyre. L’ambition de la reine Zénobie n’était pas de libérer sa cité de la domination impériale, mais au contraire de s’installer sur le trône impérial. Bien qu’elle ne réussisse jamais à arriver à ses fins, ses exploits guerriers restèrent gravés dans les mémoires des siècles durant. C’est ainsi que Zénobie la Jeune se plaça en digne héritière de son illustre ancêtre. Douée de la même puissance physique et de la même force de caractère, elle conçut ses propres plans de conquête. Grâce à l’effervescence de Palmyre, elle avait appris qu’une guerre se préparait en Tyrie. Sans nul doute, les héros recrutés pour cette guerre recevraient une distinction de prestige. Cependant, elle voulait plus encore. Elle avait également entendu parlé d’une caste d’élite nommée Roxxor. Ses membres étaient bien plus que des héros, mais de véritables demi-dieux. Leur force surpuissante, leur bras guidé par le grand dieu Balthazar en personne, aussi furtifs et dévastateurs que le Sirocco, vent brûlant des déserts les plus arides forgaient leur renommée. Certes, l'ambition de la jeune Zénobie frôlait la démesure mais sa quête de gloire était sa raison de vivre. C’est au royaume d’Ascalon que Zénobie de Palmyre débuterait son aventure.

A quand un éventuel livre Ishtar ^^ ?
C'est génial ... mais je dois avouer, non sans une certaine honte, que j'affectionne particulièrement la fin de la bio de Zénobie...là où il est question de d'une caste d'élite ...

Elle avait également entendu parlé d’une caste d’élite nommée Roxxor. Ses membres étaient bien plus que des héros, mais de véritables demi-dieux. Leur force surpuissante, leur bras guidé par le grand dieu Balthazar en personne, aussi furtifs et dévastateurs que le Sirocco, vent brûlant des déserts les plus arides forgent leur renommée

Non mais non... enfin oui c'est nous la caste d'elite c'est vrai...
Bon ok on est des demi dieux et alors ? pas de quoi en faire tout une montagne hein : D

Pour pouvoir apprécier la vérité sur Rodeuse Elfique il faut remonter bien en arrière...
Il y a des siècles et des siècles que les amazones elfiques fuient le monde des hommes pour vivre une vie paisible dans les bois du haut riverheîent. Les seuls compagnons de ces elfes immortelles sont les animaux vivant dans la forêt. Par soucis de cohésion dans la groupe, des élections furent établies pour désigner une elfe capable de diriger le groupe en cas de crise. Pendant des siècles la petite communauté vécue dans le calme, la sérénité de la forêt et ses gardiens naturels les protégeant de toutes intrusions extérieures. Mais un jour le sort de protection et d'invisibilité se brisa. Un groupe d'aventurier parvint au campement des amazones elfiques qui, n'étant pas de nature hostile, les accueillis de la façon la plus amicale possible. Parmis ce groupe d'amazone, une jeune elfe était particulièrement intéressée par les récits de ces aventuriers. Elle-meme rêvait souvent de contrée lointaine et de voyages magnifiques à travers des décors toujours différents. Elle savait qu'au fond d'elle cette vie dans la foret si monotone ne pouvait plus lui convenir. Elle décida donc de suivre ce groupe mais sans le dire à ses soeurs amazones. Pour avoir quitté les siennes elle fut banni du groupe des amazones elfiques mais pour avoir toujours dans le coeur le souvenir de ces années dans la foret elle prit le nom de rodeuse elfique!Le groupe qu'elle avait décidé de suivre la mena sur le chemin de périls et de danger plus important les uns que les autres.Le groupe la mena à l'underworld,une zone dévastée, infestée par des créatures plus terrifiantes les unes que les autres mais rodeuse, n'écoutant que son courage, arriva à survivre dans cette région hostile où elle put mettre à l'épreuve ce qui fait d'elle une parfaite rodeuse: son sens de la survie en milieu hostile. en effet par son apptitude à la survie elle put soigner les membres du groupe qui tombèrent les uns après les autres. Le groupe fini par se disloquer pas très loin de la Tyrie actuelle. Le chemin qu'elle décida de suivre la conduisit à Ascalon, cité en ruine où elle fit la connaissance d'un jeune nécromant qui ne connaissait que les bases de son art. Son visage blanchatre lui vaudra le surnom de guerrier morbide. Au lieu de s'entrainer et d'essayer de découvrir de nouvelles villes il préférait rester à Ascalon afin de poursuivre son luxuriant traffic d'armes (totalement honnete) et jouant le role de "stock" pour ses amis. Sa vie bascula tragiquement. Il se sacrifia héroïquement pour permettre à ses amis de continuer leur aventure. Nous ne toublieront jamais Guerrier morbide...
Rodeuse elfique rencontra aussi un moine qui l'impressionnat par sa droiture, son sens de l'honneur et sa soif de justice. Il désirait soigner le juste et punir le vil! Inqusiteur supreme décida d'établir son tribunal dans l'arène de glace où il sévit encore de nos jours...
Fury d'Avalon se joigna au groupe récement mais cela c'est une autre histoire que je vous conterai au prochain épisode...

(Je ne suis pas trop habitué au rp, alors je vais faire de mon mieu)

Arminas, exclu de sa patrie

Arminas, enfant turbulent, grandit dans une vaste ferme en compagnie de ses parents. Mais un grand trouble qui allait bouleversé sa vie arriva : il apprit par les rumeurs que faisaient circuler les paysans qu'il serai le fils ainé du seigneur Algon De Sumy. Arminas fout de joie, se précipita chez son père pour qu'il le reconaisse, et en fasse officiellement son héritier. Mais hélas, sont "père" ne l'entendit pas de la même oreille. Il le fit jetter du château et le bannit. Arminas du apprendre à se débrouiller seul, vivant avec la forêt. Il ne passait que de temps en temps en ville, allant chercher les fournitures essentielles à sa survie. Il apprit à manier l'arc. Il se passa 10 ans durant lesquels il mena une vie de sauvage, préférant les animaux aux autres êtres vivants. Un jour, il décida dans une rage meurtrière provoqué par les railleries de paysans, d'aller détrôner son frère, qui avait succédé à son père. Il s'engouffra dans le chateau et lui tira une flêche dans le coeur. C'est à se moment la qu'il comprit son erreur, et se mis à pleurer... Il marcha pendant des jour, expiant sa faute, et arriva dans le royaume d'ascalon. Il y décida de devenir soldat, et y suivi l'apprentissages des armes avec rurik, le prince. QUand la guerre contre les charr survint, Arminas aida rurik à faire évacuer le peuple d'ascalon, mais il assista aussi impuissant à la mort du prince. Depuis ce jour, arminas garde dans les yeux une lueurs de profonde tristesse... Mais un jour, s'amusant à tuer en arène, il fit la découverte de Khorrun Mc tyl. Les 2 hommes devinrent vite amis, et gardèrent le contact. Un beau jour ou Arminas décida que la guilde Rox (ex BAO) n'était plus bonnes pour lui, il décida de devenir un ecclesiastiques et rejoint khorrun.

J'adore ^^

Joli récit Aliena...
(ca me fait penser que j'aurais pu aussi faire un truc totalement original... non non j'ai rien pompé nul part ! )

En plus d'être un pompeur, tu serai aussi un peu nolife sur les bord, c'est pas bien ^^

Aliena a écrit:En plus d'être un pompeur, tu serai aussi un peu nolife sur les bord, c'est pas bien ^^

NANANANAN c'est pas vrai !



Hein ? du FLOOD ? oussa ?

*´¨ )
¸.•´¸.•´¨) ¸.•?¨)
(¸.•´ (¸.•´ .•´ (¸.•*´¯`*MOI


Salut à tous,
Comment me présenter alors que je me découvre tous les jours...
Du haut de mon mètre soixante quinze je contemple le monde; l'analysant pour en tirer le meilleur sans en abuser (quoi que...).
Une silhouette svelte me définirai (62kg) avec le muscle saillant, mais je préfèrerai être plus épais (il parait que ça s'arrange en vieillissant ).
Mes passe-temps sont: la fête, l'informatique et les GNs.
La fête doit être joyeuse ou ne pas avoir lieu. Peu importe l’endroit et les invités, je saurai m’y intégrer. De la simple beuverie en pub ou une soirée barbecue je suis partant.
L’informatique doit être ludique avant tout. Je suis grand fan de Counter-Strike Source et de jeux du type Age of Mythology. Elle peut être pratique aussi car je dépanne régulièrement mes amis aussi bien sur le plan logiciels que matériel.
Les jeux de rôles Grandeur Nature sont pour moi une façon de vivre ma dualité car j’y incarne souvent un personnage vil et fourbe ne vivant que pour sa personne. Lorsque je suis PNJ le rôle de loup-garou m’est attitré d’office (allez savoir pourquoi mais personne ne le joue aussi bien dans mon entourage).
Les sports que je pratique sont: le paint-ball et le snow-board.
J'adore la musique électronique que je collectionne. Elle passe par le trip-hop, la techno, l'acid-jazz et même l'électro-goth. La liste est immense pour donner les artistes que je préfère : Jamiroquai, Lamb, Morcheeba, Portishead, Red Snaper, De Phazz, Mastaya, Pink Floyd, Mempamal et bien d’autres encore mais chacun à des moments différents.
Je suis un fan de bandes dessinées que je chéri particulièrement; en m'arrachant les cheveux lorsqu'une d'entres elles manque à l'appel (ma favorite étant Trolls de Troy pour sont coté humour anachronique).
Homme de goût, raffiné, patient puis enflammé, un fervent fétichiste ; attendant ma proie plutôt que de la chasser, je la charmerai sans la draguer avant de lentement la dévorer. Le maniement de liens ou cravache fait parti de mes jeux occasionnels. Quoi de mieux qu’un peu de douleur pour apprécier le moment voluptueux ainsi amplifié. Je suis donc piercé uniquement à l’endroit le plus intime de mon anatomie afin de ne point choquer tout en pouvant profiter de cet outil de plaisir. Donner de la sensualité pour recevoir la sienne est une de mes devises.
Mon métier : J’ai commencé à travailler à 16 ans dans des restaurants comme serveur, puis en temps que plongeur et rapidement second de cuisine, enfin vint l’armée. Elle dura 16 mois (volontariat service long) embarqué dans la marine. De retour dans la vie civile je repris mes études en contrat de qualification durant 3 ans. Titulaire d’un CAP, BEP et d’un niveau BAC me voilà maintenant électricien confirmé avec 10 ans de pratique. Mes compétences vont de la création d’installations à la rénovation en passant par les dépannages. Mes secteurs d’activité professionnelle s’étendent sur l’électricité domestique, les portails, les volets roulants et les alarmes. Je suis actuellement en création d’entreprise : un terrain de paint-ball en plein air au format compétions ouvert au publique…

Bref, baroudeur/bricoleur, je suis le "Mc-Gyver" de nombreuses situations ; toujours partant pour un nouveau défi ; le relevant avec panache et dignité.

Mon rêve : marquer l’Histoire et me trouver dans un livre la racontant.

Mes devises : Ne fais pas à autrui ce que tu n’aimerais pas que l’on te fasse.
Libérer son esprit pour être plus léger.
Patience et sagesse valent mieux que précipitation et vitesse.
Tant qu’à faire quelque chose autant le faire bien.
Dormir ? Pour quoi faire ? Je tiens encore debout………..

Une vérité : La raison est la chose la mieux répartie dans le monde car chacun pense en avoir suffisamment.


____________________________________________________________________________



*´¨ )
¸.•´¸.•´¨) ¸.•?¨)
(¸.•´ (¸.•´ .•´ (¸.•*´¯`*SOYONS RP



Uzul signifie en langage Fremen : la force à la base du piller. Et Monsieur c’est pour le respect qu’il doit inspirer. Il me fut attribué, il y a de cela longtemps, alors que je traînai ma carcasse de bas-fonds en bas-fonds, de pubs en caniveaux, en des lieux de perversions appelés raves party. Là où l’on croise tous types de gens et de débauches, là où la nuit reprend ses droits. L’abus de substances alcoolisées ou psychotropiques puissantes je fis perdre peu à peu la raison et les souvenirs qu’il me restait. Alors, plutôt que de ne pas avoir de nom je pris celui que l’on me donna. Pas une de ces soirées ne se déroulai sans moi ; j’étais un pilier de teufs lorsque je n’étais pas celui du bar……
Eduqué dans la lumière, penchant dans l’ombre, j’oscillai comme la balance ne se stabilisant jamais, en un quasi perpétuel mouvement, hésitant dans la dualité de cet esprit qui est le mien. J’était perdu, jusqu’aux moment où le frêle équilibre se rompit et que le chemin m’apparu.
Des forces, alors inconnues me firent rencontrer un être. Incarné en la personne de [id=5624]Lucia Nox[/id], elle me pris sous sont aile et me prêcha la parole Ecclésiastique. Ma vie bascula, la plénitude m’envahie et là je compris.
Soit, je prêcherai aux étoiles du firmament, s’il le faut, afin de les convertir au culte de la Guilde. Dusse-je les ravager pour ne garder que la crème, l’élite, les meilleures. Je serai calme comme avant la tempête, puis la tempête elle même l’instant d’après. Frappant les incultes à portée de ma route, sans relâche, mon courroux sera fatal ou ne sera pas. La Guilde ne doit pas sûrement pas tolérer l’échec sans que le paroxysme de nos capacités ne soit donné. Tremblez pauvres incrédules, mais lorsque les soupapes de sécurité sautent il vaut mieux ne pas être sur mon passage. J'ai le poil qui s'hérisse et les crocs qui poussent alors que mes griffes apparaissent. Le loup qui sommeil en moi pourrai bien échapper à tout contrôle et tel un fauve je choisi toujours la bête malade qui encombre le troupeau.
D’apparence simple et passe-partout, me voilà vêtu d’un t-shirt bleu marine (arborant un logo : FETARD ACADEMIE pour y rentrer, il faut sortir), d’un jean réversible à rayures et d’une paire de baskets noires aux pieds. Paraissant rêveur et retranché, je peux me montrer jovial. Analysant et profitant des situations, j’attends le moment de faiblesse pour frapper là où ça fera mal et d’un geste sournois vous égorger de mes crocs.

Je suis devenu un petit citoyen guildien, fraîchement libéré d’un monde décadent et moribond, où il ne me reste qu’à vivre attendant que ma divine connexion en ait décidé autrement.
Errant la nuit, près à tout pour obéir à l’appel de la dévotion, je tacherai d’être fidèle tant que les fils de ma vie ne seront pas coupés.

Guildien, membre des Ecc, je fait, par la présente déclaration, vœux d’allégeance à la communauté et à ses règles; promettant obéissance à mes supérieurs ainsi que courtoisie envers tous les membres. Puissent-ils vivre éternellement dans les faveurs divines.

Ha ! Les joies du luxe….
Un appartement tout confort, j’en ai toujours rêvé.
Ô grande est la bonté des dieux pour tous leurs bienfaits.
La porte double battants donne accès à un long couloir qui mène au séjour.Mais avant de le visiter jetez un œil dans la salle de bain sur votre droite.
Un marbre blanc et des colonnes façon Grèce antique viennent rehausser les dorures de la robinetterie et des différents encadrements des placards et miroirs. Dans le fond se trouve le bain. Il est en forme de coquillage et des jets d’eau tiède le remplissent en permanence afin de maintenir le niveau et la température. La cuvette des toilettes n’a pas de papier à proximité. Elle aussi a des jets (certes plus petits) qui viennent vous rincer puis un souffle d’air sèchera le tout.
En sortant de la salle de bain vous vous trouvez face à la cuisine. Four, piano, chambre froide, plans de travail et même la table et les chaises sont en acier dans un genre très design high-tech. Aucun détail ne manque, la cafetière, la vaisselle, les gamelles, tout est de ce même style.
Entrons maintenant dans cette pièce que vous lorgniez déjà à votre arrivée, le salon. Il comporte en sont coté gauche un aquarium. Posé sur un socle d’un mètre de haut, il représente toute la longueur et la hauteur du mur et donne vue sur le bureau derrière. Seuls des piranhas d’Amazonie si trouvent, ils sont 77. Il y a une trappe sur le coté (en haut bien sur) afin de pouvoir accéder au bassin. L’habillage des autres murs fait penser à l’intérieur d’un bateau ancien. Tout en bois avec des banquettes recouvertes de coussins blanc cassés en chanvre très confortables. Des aussières sont lovées au sol afin de faire un tapis le couvrant intégralement. De nombreux objets, arrangés sur les étagères, sont en cuivre et ont attrait à la marine comme un sextant, une boussole, un baromètre, une longue vue….. Le bar lui est bien intégré au décor et n’oublie aucun alcool ou soda. Maintenus au frais, pour certains dans un bac de glace que vous n’aviez même pas remarqué. Des lamparos de cuivre fournissent l’éclairage nécessaire. Au fond se trouve la terrasse, avec cette vue qui m’est si chère sur la Rivière Assoiffée.
Passons dans le bureau. Il est lui plus proche de la jungle ou d’un jardin botanique que d’un bureau. De nombreuses plantes en pots sont en fleurs alors que les arbustes resplendissent d’un vert qui ne peut être obtenu qu’avec de la terre de Maguma. Le bureau au centre de la pièce est immense et en forme de haricot. Le bois noble dont il est issu s’harmonise délicatement avec les tons naturels présents. Le siège massif proche du trône est lui aussi de ce même bois noble mais comporte tout le nécessaire de confort et de réglages. Un sol en parquet flottant vient parfaire l’ensemble. "C’est dans cette pièce que je dresse les plans de mes futures batailles" vous dirai-je. Dans le fond une fenêtre de plein pied donne vue, elle aussi, sur le fleuve sacré et permet à la lumière de donner vie à cette pièce. Une bibliothèque dans l'opposé de la fenêtre parachève le sérieux du lieu. Pourtant quelque chose vous tracasse en la regardant de plus près.... C'est ce drôle de livre qui ne semble pas à sa place?..... "NE TOUCHE PAS, malheureux. Ceci est le mécanisme qui même dans MON garde mangé personnel".
Ma chambre se trouve de l’autre coté du salon. Elle est toute de velours pourpre, sur les murs, couverte de telle manière à capitonner la pièce.Une épaisse moquette noire invite à une marche souple et pieds nus. Un lit à baldaquin, en son milieu, se reflète sur la glace qui couvre tout le plafond. Deux tables de chevet, de part et d’autre du lit, supportent de petites lampes à la lumière rouge faisant ressortir le noir des rideaux qui l’orne. L’une d’elles laisse apparaître "le dictionnaire des perversions sexuelles" et "le psychopathia-sexualis (de Von Krafft Ebing)" tandis que l’autre révèle le "comment séduire une louve garou". Les voiles de dentelle légers ne suffisent pas à masquer les anneaux fixés sur les montants de fer forgé. Un treillis soudé se trouve à gauche boulonné au mur et différents ustensiles y sont suspendus (chat à neuf queues, masques, baîllons et liens en font partie). Le placard se trouvant à coté contient les multiples tenues en cuir ou latex que je tiens à disposition de mes partenaires. Un petit cabinet servant à faire une brève toilette se trouve derrière un rideau de fines chaînettes d’où s’échappe une légère odeur d’aseptisé.

«Bon la visite de coutume étant faite ; allons donc prendre un verre pour nous détendre ».

Tu me sembles suffisamment compétent pour écrire ce livre...

Mon rêve : marquer l’Histoire et me trouver dans un livre la racontant.

Merci pour cette présentation et encore bienvenue chez les Ecclésiastes.

Bon ben je suis pas vraiment membre de votre guilde mais bon je me présente quand même, pour ceux qui ne me connaissent pas (honte à eux)

Membre actif de la trés éminente guilde TBOR, du haut de mon mètre 85 et de mes bientôt 20 piges, je vous toise d'un air hilare, car le rire est ma meilleure arme (après la pluie de météore)

Que dire de moi en jeu? Je suis, n'ayons pas peur des mots, un pigeon roxxor en pyjama, et oui msieus dames !! Wifrea est là, de suite sa déconne pas ^^

Sur ce brave gens il ne me reste plus qu'à vous dire à bientôt IG !!!

L'histoire de Raoulucius Exitus, par raoulucius Exitus :
Par une nuit sans peur et sans lune,
Je n'avigué sur la mer déchainé!
Quand une énorme vague pleine d'écume,
M'assomma et me fis chavirer!

Pensant mourrir milles fois et terrassé par l'angoisse,
Je sombrer ds l'abime et imaginer ma mort,
Mais au petit matin, envolé ma poisse,
je me retrouver sur une plage a coté d'un fort!

M'arment de mon courage et de mon plus beau sourire,
je frappe a la porte et je demande a entrer,
sur ce, des rodeurs apparraissent et se mettent a rire,
en me parlant de GW et des ECC!!

J'etais perdu et affolé ds un monde inconnu,
Mais ayant trouver des amis de combat honnorés,
Je suis devenu plus fort et j'ai survecu,
Alors merci les ECC car Raoul et la et super motivé!!!!

Pourquoi ne suis-je pas étonné de tes talents poétiques?
Merci pour cette originale présentation et encore bienvenue Raoul chez les Ecclésiastes.

Pas mal du tout Raoul
Mais je suis quand même un peu déçu !
Je suis étonné de ne pas avoir vu :"A MORT LES LULU !! "

merci No^^!!
ET voici la suite pour Moine :

Bien remis et bien entrainé,
je me décide a les accompagner!
Et quel ne fut pas mon étonnement,
car je voyayais au travers de l'espace et du temps!!

me voila arriver ds une nouvelle contré,
entouré d'une armée d'ECC!
On me dit "vient on va buter du lulu!!"
et depuis je suis accro car sa ma vraiment plu!!

Entouré d'une multitude de proffessions,
je me rendais conpte que l'on était "vachement bon"!
Mais je découvris un personnage mysterieux,
propre sur lui et super pieu!!

C'était un moine qui n'arretait pas de me sauver,
un professionnel pour nous healer!!
depuis le ava j'adore ca!
mais je preferes quand Moine Soin est la!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

La morale de cette histoire,
c'est que j'aime me coucher tard,
passer des heures a jouer,
entouré d'amis dévoués,
GW est une nation,
les ECC notre bastion!!
ALors freres, soeurs, reprenez avec moi,
vive les ECC, gloire a nous, amusement et puis voila!!!!


P.S : A MORT LES LULUS

Je tiens d'abord à congratuler ce cher Raoul ! C'est vraiment super A quand la musique qui va avec ?
Maintenant, c'est à mon tour, alors accrochez vos ceintures et préparez le café Car ça va ROXXER !!!

Je poursuis là les chroniques qui ont débuté il y a 2 ans déjà.
Je commencerai par une brève annonce. Aurore de Perse nous a quittés tragiquement. La pauvre enfant s’était éprise un peu vite du jeune et beau Prince Rurik. L’annonce des fiançailles de ce dernier avec Altéa ne découragea pas Aurore qui redoubla d’efforts dans l’apprentissage des envoûtements. Son aventure débuta bien. Elle réussit à échapper aux Charrs et fuit avec son fringant Rurik. Et là, c’est le drame. Lorsqu’elle assista, impuissant à la fin du courageux Rurik face à la Porte de Givre, elle trembla de tout son être. Un frisson glacé parcourut son dos (ça c’était Orion qui lui faisait une blague). Sa vision se troubla et bientôt elle n’entendit plus rien… Petit Thom dût la porter dans ses bras jusqu’au Promontoire. Mhenlo l’aida à reprendre ses esprits (une petite baffe dans la figure, oui oui c’est pas un tendre Mhenlo !). Elle ouvrit les yeux lentement et sentit la chaleur du feu. Tout à coup, elle ressentait un profond soulagement. « Quel horrible cauchemar ! » pensa-t-elle, « Mon beau Rurik ne peut pas mourir ! Il est bien trop vigoureux ! ». Elle se tourna alors vers le feu et observa les gens qui l’entouraient. La tristesse sur leur visage effrayait la jeune envoûteuse. Elle s’attarda devant le grand bûcher dont les flammes semblaient atteindre le ciel. Elle entendit un prêtre réciter des formules funèbres destinées à accompagner les défunts vers l’autre monde. Son sang ne fit qu’un tour. Elle reconnut aussitôt les armes déposées à côté du corps qui brûlait devant elle. Dans un accès de folie, elle s’arracha les cheveux, déchira ses vêtements, et, moitié nue, courut à jusqu’au sommet du Promontoire. Elle se jeta ensuite dans le vide en poussant un hurlement si effroyable qu’on dit qu’il fut entendu jusqu’à la Jungle de Maguuma. Depuis ce tragique événement, son fantôme viendrait hanter les lieux. Certaines nuits, on peut encore entendre l’écho de son cri épouvantable…

Passons à des nouvelles un peu plus gaies. (Ahah ! vous avez cru que j'avais fini ! mais ça ne fait que commencer les loulous !!!)

Vous l’avez attendue patiemment.

Vous l’avez espérée ardemment.

Voici donc l’histoire des origines de Selkis de Kharga, ou la naissance d’une légende, celle de Selkis la Grande.


La jeune fille, aux yeux légèrement bridés, naquit dans la cité d’Hibis située au nord de l’Oasis de Kharga, aux confins du Désert de Cristal. Les voyageurs racontent que cette oasis serait l’œuvre de la main de Mélandru.

Jadis, des fidèles de la Déesse se mirent mis en quête du fameux vase divin duquel jaillit l’eau sans jamais s’épuiser. Leurs recherches les menèrent dans la région la plus aride du Monde connu, l’énorme Désert de Cristal. Là, épuisés par leur interminable marche, assoiffés sous un soleil écrasant, ils découvrirent enfin la source de toute vie, le vase contenant l’eau purifiée par les larmes que versa Dwayna lors de la destruction du royaume d’Orr. Une énergie nouvelle s’empara des corps brisés de ces hommes et femmes. Toutefois, ils savaient que cela ne suffirait pas pour le voyage du retour. Alors, ils décidèrent de consacrer leurs dernières forces dans la construction d’un autel majestueux en l’honneur de Mélandru, tant leur ferveur était sans limite.

La Déesse ne resta pas insensible à cette marque profonde de dévotion. C’est alors que les éléments se déchaînèrent. Des vents violents déclenchaient des tornades ; des éclairs foudroyaient le sol ; des trombes d’eau l’inondaient… Non, ce n’était pas l’Enfer qui s’abattait sur les malheureux dévots, bien qu’ils l’eurent imaginé pendant un moment. Lorsque la tempête se dissipa, un air frais vînt caresser leur visage. Ils n’en croyaient pas leurs yeux. Le sable stérile avait fait place à une végétation dense et luxuriante. Elle était alimentée par une source. Au cœur de l’oasis, à l’endroit de l’autel de Mélandru, un lagon aux eaux cristallines assurerait la prospérité de ses habitants. Ainsi la Déesse accorda une vie confortable à ses plus fidèles serviteurs, ainsi qu’à leurs enfants et aux enfants de leurs enfants, à la seule condition que nul étranger ne vînt s’installer dans l’oasis.

La vie s’organisa dans l’Oasis de Kharga et ses habitants prospéraient. Le climat tropical favorisait le développement des plantations fruitières et des plantes potagères. Le commerce fournissait ce dont on pouvait manquer : des céréales, du bétail, du minerai, etc. Plus d’un commerçant rêva de s’installer dans cet Eden, mais la Règle ne le permettait pas et les habitants étaient intransigeants. Ils étaient restés très pieux également. Chaque dieu trouvait sa place dans les cités de l’Oasis. Hibis était plus particulièrement consacrée au culte de Grenth l’obscur.

Les voyageurs et commerçants, toujours de passage, aimaient s’y arrêter pendant la saison du Zéphyr. Tous les dix jours, on célébrait l’office. Certes, ce qui attirait les curieux, ce n’étaient pas les divers hymnes et prières psalmodiés des heures durant. Non, ils étaient surtout impatients d’assister à la fameuse Cérémonie des Nymphes. Le culte de Grenth disposait d’un cortège de vingt-quatre jeunes filles, dont la beauté rivalisait avec celle de la Déesse Lyssa. Les vingt-quatre Nymphes exécutaient, avec une grâce étonnante, une danse langoureuse, presque aérienne, qui était censée charmer les esprits tourmentés. Inutile de préciser que le charme ne se limitait pas à ces derniers. On raconte que certains seraient même devenus fous. Un jour, après s’être roulé par terre en bafouillant des propos incohérents – « Rodeuse Elfique est le maître du monde » ou encore « Prenez garde au géant Moine Soin ! » –, un voyageur vabbian se redressa, raide comme un sapin des Cimefroides, pour ensuite se mettre à courir sans s’arrêter, droit vers le Désert. Nul ne le revit jamais plus.

Tous ne finissaient pas ainsi, grâce soit rendue à Dwayna ! Nombreux étaient enivrés par ces créatures quasi divines. En revanche, il était plus rare que le contraire se produisit. Les Nymphes étaient la propriété du Dieu et donc vouées au célibat toute leur vie. Toutefois, l’une d’entre elles, Milla, s’éprit d’un jeune homme venu vendre de la jadéite de la lointaine terre canthienne. Leur amour était aussi zélé et véloce que la foudre. Bien que promis à un bonheur sans faille, la Règle devait pourtant les séparer à jamais. Le jeune canthien du nom de Xian poursuivit sa route de marchand, le cœur lourd. Quant à Milla, sa vie ne serait plus jamais la même. Les quelques heures passées en compagnie de son amant lui laissèrent bien plus que le souvenir douloureux de l’amour perdu. Sa grossesse n’aurait pu être dissimulée aux yeux des prêtres et prêtresses, et pire, au Dieu Grenth. C’était la première fois que les religieux étaient confrontés à une telle situation. Et comme souvent, ils recouraient à l’oracle afin de connaître la volonté du Dieu. A la grande satisfaction de Milla, Grenth accorda sa bénédiction, à elle et à sa fille.

La fille providentielle, protégée par le Dieu des ombres, fut nommée Selkis, du nom d’une ancienne déesse-scorpion du Désert. Elle grandit au sein du temple, dans le confort que lui assura toute la communauté d’Hibis. Elle reçut la même formation que les Nymphes, apprenant les secrets des danses mystiques. Dans ce domaine, ses capacités étaient tout à fait exceptionnelles. Elle apprit à maîtriser l’invocation des rituels plus rapidement que n’importe qui auparavant. Bientôt, tandis qu’elle continuait de développer ses compétences, au-delà même de ce que l’enseignement du temple pouvait lui apporter, son regard se tourna vers le Désert. Elle avait appris à écouter ses sentiments. Désormais, ils lui disaient de partir.

La nouvelle fit scandale. Il était, bien évidemment, hors de question de perdre l’enfant prodige, la fille du grand Dieu ! Elle patienta quelques temps. Mais le Conseil des Anciens avait parlé et s’était montré ferme, comme à son habitude. Pourtant elle n’avait en tête que ces contrées étrangères dont elle avait entendues parler si souvent, et surtout, ce père, dont sa mère lui avait tant parlé, et qui l’attendait peut-être, là, quelque part… A côté de cela, les habitants de l’Oasis étaient en proie à de sérieux problèmes, probablement imputables à la consanguinité, conséquence inévitable de la Règle. Selkis comprit que plus rien de la retenait ici. Elle profita d’une nuit sans lune pour se faufiler hors du temple. Usant de sa magie pour éloigner d’éventuels témoins, elle troqua ses parures de Nymphe contre des vêtements de marchand, et partit au petit matin avec le long cortège de caravanes ramenant les précieux fruits et légumes exotiques tant appréciés par l’Empereur Kisu. Elle entreprit ainsi son voyage vers l’Empire du Dragon à la recherche de son père.


A bientôt pour de nouvelles aventures ...

(GG à ceux qui ont lu jusqu'au bout quand même )

Que dire?
Tout paraitrait fade après cette épopée. Je ne dirai que BRAVO Selkis
Ah si, qui sont ces Rodeuse Elfique & Moine Soin?

Ishtar a raison d'évoquer, et rappeler au souvenirs des "anciens", le post: Les membres, en début de cette rubrique.

Ah si, qui sont ces Rodeuse Elfique & Moine Soin?

Je vais faire le mien dans la semaine !
Mais ne vous attendez pas à un truc exceptionnel je suis pas douer pour ça.